Une transpiration excessive, peut être le symptôme d'un dérèglement thyroïdien, d'un diabète non diagnostiqué, d'une faiblesse au niveau des reins ou encore du surpoids. Pour notre corps, la transpiration est un gage de santé. Même si elle peut nous gêner, elle assure trois fonctions essentielles.
► La transpiration permet de réguler la température de l'organisme pour qu'elle se maintienne autour de 37 °C.
► Mélangée au sébum, elle forme un film hydrolipidique à la surface de la peau, lui permettant de bien être hydratée et de garder un pH acide pour mieux se défendre contre les bactéries.
► Enfin, la transpiration facilite l'évacuation de nombreux déchets. Pour se détoxiquer au quotidien, ce processus physiologique est donc naturel est nécessaire.
Il est bon de savoir que si la transpiration est bloquée artificiellement avec des déodorants antitranspirants, les toxines sont moins bien éliminées et doivent être prise en charge par d'autres organes comme le foie ou les reins, qui risquent alors d'être surchargés de travail.
Pour limiter les bouffées de chaleur causée par la ménopause et la transpiration qui les accompagne parfois, consommez régulièrement une tisane de pétale d'aubépine. Cette plante peut être prise sur de longues périodes sans risque de toxicité ni d'accoutumance.
Par précaution, demandez un avis médical si vous prenez un traitement contre les troubles cardiaques ou si vous êtes sujette à l'hypertension.
Tous les jours, il faut se laver les aisselles et les pieds avec une base lavante douce. Même si elle est bio, vérifiez dans la liste des composants qu'elle ne contient pas d'Ammonium Lauryl Sulfate, ce tensioactif étant très irritant.
Préférez les déodorants bio aux déodorants antitranspirants traditionnels qui posent plusieurs problèmes. Non seulement ils bloquent la transpiration en resserrant les pores de la peau mais les composés utilisés, les sels d'aluminium, sont suspecter d'être cancérigènes. Une étude suisse publiée en 2016 a de nouveau mis ce risque en évidence.
Par ailleurs, des tests indiquent que plusieurs marques contiennent du propylparabène et du cyclopentasiloxane, connus comme étant des perturbateurs endocriniens. La pierre d'alun, longtemps considérée comme une bonne alternative aux déodorants à base de sels d'aluminium, en contient elle aussi, même si c'est dans des proportions moindres.
Par précaution, mieux vaut donc ne pas l'utiliser, qu'il s'agisse de pierre d'alun naturelle (potassium alun) ou de pierre d'alun synthétique (ammonium alun). Pour avoir un maximum de garanties sur la composition de son déodorant, le mieux est encore de le préparer soi-même ou de se tourner vers des déodorants certifiés écologiques et biologiques. Ils n'empêchent pas la transpiration mais absorbent l'humidité et réduisent la prolifération des germes responsables des mauvaises odeurs.
Pratiquer régulièrement une activité physique, surtout s'il s'agit d'un sport d'endurance (footing, vélo, natation), permet de réguler petit à petit la production de sueur.
Certains aliments favorisent les fortes odeurs corporelles, s'ils sont consommés en excès. Attention donc à ne pas abuser des protéines animales (viandes, œuf, poisson), des condiments (ail, oignon...), des épices (poivre, piment, curry...), ou encore des excitants (café, sodas, alcool, chocolat).
Évitez les vêtements trop serrés et les textiles synthétiques, pour permettre à votre peau de respirer normalement. Préférez les matières naturelles comme le bambou, le chanvre ou le lin. Ou les nouvelles matières recyclées respirantes type Polartec, Tencel, Gore-Tex, etc.
► Mélangée au sébum, elle forme un film hydrolipidique à la surface de la peau, lui permettant de bien être hydratée et de garder un pH acide pour mieux se défendre contre les bactéries.
► Enfin, la transpiration facilite l'évacuation de nombreux déchets. Pour se détoxiquer au quotidien, ce processus physiologique est donc naturel est nécessaire.
Il est bon de savoir que si la transpiration est bloquée artificiellement avec des déodorants antitranspirants, les toxines sont moins bien éliminées et doivent être prise en charge par d'autres organes comme le foie ou les reins, qui risquent alors d'être surchargés de travail.
Cause de transpiration excessive et traitements naturel
Le stress est une cause de transpiration excessive. Pour le réguler et ainsi éviter des suées incommodantes, buvez régulièrement une infusion relaxante composée d'un mélange à parts égales de passiflore, de tilleul, de lavande et de verveine odorante. Quand vous sentez que la pression commence à trop monter, déposez deux ou trois gouttes d'huile essentielle de lavande vraie ou d'orange douce sur un mouchoir, fermez les yeux et inspirez profondément ce doux parfum.
Pour limiter les bouffées de chaleur causée par la ménopause et la transpiration qui les accompagne parfois, consommez régulièrement une tisane de pétale d'aubépine. Cette plante peut être prise sur de longues périodes sans risque de toxicité ni d'accoutumance.
Par précaution, demandez un avis médical si vous prenez un traitement contre les troubles cardiaques ou si vous êtes sujette à l'hypertension.
Tous les jours, il faut se laver les aisselles et les pieds avec une base lavante douce. Même si elle est bio, vérifiez dans la liste des composants qu'elle ne contient pas d'Ammonium Lauryl Sulfate, ce tensioactif étant très irritant.
Évitez surtout les savons classiques :
leur pH basique ne respecte pas le pH naturellement acide de la peau et il peut déséquilibrer le film hydrolipidique, favorisant ainsi l'apparition des mauvaises odeurs. Se raser ou s'épiler serait le mieux, parce que les poils retiennent l'humidité, qui elle-même favorise la prolifération bactérienne et donc les effluves déplaisantes.
Préférez les déodorants bio aux déodorants antitranspirants traditionnels qui posent plusieurs problèmes. Non seulement ils bloquent la transpiration en resserrant les pores de la peau mais les composés utilisés, les sels d'aluminium, sont suspecter d'être cancérigènes. Une étude suisse publiée en 2016 a de nouveau mis ce risque en évidence.
Par ailleurs, des tests indiquent que plusieurs marques contiennent du propylparabène et du cyclopentasiloxane, connus comme étant des perturbateurs endocriniens. La pierre d'alun, longtemps considérée comme une bonne alternative aux déodorants à base de sels d'aluminium, en contient elle aussi, même si c'est dans des proportions moindres.
Par précaution, mieux vaut donc ne pas l'utiliser, qu'il s'agisse de pierre d'alun naturelle (potassium alun) ou de pierre d'alun synthétique (ammonium alun). Pour avoir un maximum de garanties sur la composition de son déodorant, le mieux est encore de le préparer soi-même ou de se tourner vers des déodorants certifiés écologiques et biologiques. Ils n'empêchent pas la transpiration mais absorbent l'humidité et réduisent la prolifération des germes responsables des mauvaises odeurs.
Pratiquer régulièrement une activité physique, surtout s'il s'agit d'un sport d'endurance (footing, vélo, natation), permet de réguler petit à petit la production de sueur.
Certains aliments favorisent les fortes odeurs corporelles, s'ils sont consommés en excès. Attention donc à ne pas abuser des protéines animales (viandes, œuf, poisson), des condiments (ail, oignon...), des épices (poivre, piment, curry...), ou encore des excitants (café, sodas, alcool, chocolat).
Évitez les vêtements trop serrés et les textiles synthétiques, pour permettre à votre peau de respirer normalement. Préférez les matières naturelles comme le bambou, le chanvre ou le lin. Ou les nouvelles matières recyclées respirantes type Polartec, Tencel, Gore-Tex, etc.
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